Ah !... Ces animaux

Ils ne sont jamais contents

Plumes, poils ou sabots

Ils se plaignent tout le temps

 

Je n’aime pas mes points noirs

Pleurniche la coccinelle,

Regardez mes longues pattes

Se lamente la sauterelle,

Mes oreilles sont trop grandes

Nous dit l’éléphant,

Même le poney sanglote 

En voyant ses dents

 

Et la girafe bougonne

Mon cou est interminable,

Je pèse plus de trois tonnes

Regrette l’hippopotame,

Moi je suis bien trop frisé

Remarque le mouton,

Pourquoi ai-je un si gros nez ?

Demande le cochon

 

Ah !... Ces animaux

Ils sont toujours très ronchons

Les petits les gros

Nous les aimons comme ils sont

Amis, amis, amoureux de la vie

Nous sommes les amis de tous les enfants du monde 

Unis, unis comme les doigts de la main

Nous voulons pour demain

La paix pour tout le monde

 

C’est pas parce qu’on est blanc, c’est pas parce qu’on est noir

Qu’on ne peut pas se parler, qu’on ne peut pas s’écouter

Ensemble on sera plus fort, pour crier notre espoir

D’un monde plein d’amour, d’un monde plein de paix

 

Si on se connaissait mieux, on pourrait s’entraider

On a les mêmes joies et les mêmes chagrins

Il y a tellement de choses dans ce monde à changer

Qu’on pourrait avancer en se tendant la main

 

On a des différences, on peut les partager

Et même si tu vis sur une autre continent

Je sais bien que ton cœur ne rêve que d’amitié

Je sais que dans nos veines coulent le même sang

Au commencement tu étais là, tu as dit que la lumière soit

Les astres ont écouté ta voix, la terre a tourné pour la première fois

Avec amour sagesse et art, tu écrivais notre histoire

Tu nous as fait à ton image, donné la terre pour héritage

 

Mais qui peut se comparer à toi ?

Tu appelles à la vie ce qui n’existe pas

Qui peut se comparer à toi ?

 

Oh, oh, artisan de merveilles

L’univers n’a pas son pareil

Artisan de merveilles, la Création étincelle

De ta puissance, de ta sagesse éternelle

Oh, oh, artisan de merveilles

 

De l’infini au minuscule, des galaxies jusqu’aux cellules

Sommets de neige vagues qui dansent

Nous parlent de toi comme une évidence

Tes œuvres sont le miroir, dans lequel nous voyons ta gloire

Jésus par toi tout fut créé, se maintient par ta volonté

 

Qui peut se comparer à toi ?

Tu appelles à la vie ce qui n’existe pas

Qui peut se comparer à toi ?

 

Oh, oh, artisan de merveilles

L’univers n’a pas son pareil

Artisan de merveilles, la création étincelle

De ta puissance, de ta sagesse éternelle

Oh, oh, artisan de merveilles

 

Que nous doutes s’effacent, devant le spectacle de ta majesté

Que nos cœurs se réveillent, nos yeux s’émerveillent de ta majesté

Que nous doutes s’effacent, devant le spectacle de ta majesté

Que nos cœurs se réveillent, nos yeux s’émerveillent de ta majesté

 

Non, l’univers n’a pas son pareil

La création étincelle de ta puissance, de ta sagesse éternelle

 

Tu es artisan de merveilles, merveilles

Tu es artisan de merveilles, merveilles

Artisan de merveilles

Artisan de merveilles

C'est bientôt l'heure des mamans

Préparez vous les enfants

Il faut mettre ses habits

L'école est finie

 

Devant l'école maternelle

Les parents sont là

Devant l'école maternelle

Ils font les cent pas

 

Ma petite maman magique

Dès que je te vois

Je viens me blottir bien vite

A creux de tes bras

C’est la rentrée des classes

Toute l’école est en fête

C’est la rentrée des classes

Pour tous les enfants, c’est la fête

 

Dans le préau de l’école

On s’amuse et on rigole

On retrouve ses copains

Et tous ceux qu’on aime bien

 

La maîtresse est très jolie

Elle sourit tout le temps

Et console les petits

Qui réclament leur maman

 

On va jouer et chanter

Dessiner et colorier

Mais aussi apprendre à lire

A compter et à écrire .

J'suis content, c'est l'printemps, aujourd'hui j'ai rien à faire

Quelle aubaine, turlutaine, je marche le nez en l'air

J'suis content, c'est l'printemps, les arbres sont en couleurs

Dans les nids, les petits s'égosillent tous en chœur

 

Le matin, le matin ne rime plus avec chagrin

À midi, à midi, je n'aurai pas plus de soucis

À quatre heures, à quatre heures ça rime avec tartines au beurre

Et le soir, et le soir, ça rime toujours avec espoir

 

J'suis content, c'est l'printemps qui vient juste après l'hiver

Le voilà, youpla-la, c'est joli pis c'est pas cher

J'suis content, c'est l'printemps, c'est pour moi qu'elles butinent

Les abeilles, dans l'soleil, me préparent mes tartines

 

Le matin, le matin, ne rime plus avec chagrin

À midi, à midi, je n'aurai pas plus de soucis

À quatre heures, à quatre heures ça rime avec tartines au beurre

Et le soir, et le soir, ça rime toujours avec espoir

 

J'suis content, c'est l'printemps, je compte les rossignols

J'suis gâté, c'est congé, je n'irai pas à l'école

J'suis content, c'est l'printemps, poussent les petits bourgeons

Dans les prés, sur mon nez, poussent les petits boutons

 

Le matin, le matin, ne rime plus avec chagrin

À midi, à midi, je n'aurai pas plus de soucis

À quatre heures, à quatre heures ça rime avec tartines au beurre

Et le soir, et le soir, ça rime toujours avec espoir

 

J'suis content, dans l'étang y a de nouveau des grenouilles

Elles s'enlacent, elles s'embrassent, y en a même qui s'tripatouillent

J'suis content, c'est l'printemps, j'aurai bientôt une petite sœur

C'est maman, en chantant, qui me l'a dit tout à l'heure

 

Le matin, le matin, ne rime plus avec chagrin

À midi, à midi, je n'aurai pas plus de soucis

À quatre heures, à quatre heures ça rime avec tartines au beurre

Et le soir, et le soir, ça rime toujours avec espoir

 

J'suis content, c'est l'printemps

C'est la rentrée, c'est reparti

Retour à l'école !

C'est la rentrée, c'est aujourd'hui

C'est chouette, on rigole !

 

Voir tous les camarades

Raconter les vacances

Raconter les balades

Sur les routes de France

Rencontrer les nouveaux

Apprendre à les connaître

Accueillir comme il faut

Nouveaux copains peut-être

 

C'est la rentrée, c'est reparti

Retour à l'école !

C'est la rentrée, c'est aujourd'hui

C'est chouette, on rigole !

 

Tout plein d'activités

Voyager par le monde

Apprendre à respecter

heureux chaque seconde

Lire et s'émerveiller

Compter, chanter en chœur

Une journée comblée

Grâce à mes professeurs

 

C'est la rentrée, c'est reparti

Retour à l'école !

C'est la rentrée, c'est aujourd'hui

C'est chouette, on rigole !

C'est la rentrée, c'est reparti

Retour à l'école !

C'est la rentrée, c'est aujourd'hui

C'est chouette, on rigole !

C'est la rentrée, c'est reparti

Retour à l'école !

C'est la rentrée, c'est aujourd'hui

C'est chouette, on rigole !

 

Ya pa la la

Ya pa la la

La la la la la

Moi je vais à l’école

Chante danse farandole

En tête une chanson folle

Chante danse farandole

Mon cartable à la main

Chante danse farandole

Je vais sur le chemin

Chante danse farandole

 

Et bien que je sois grand

J’ai au fond de mon cœur

Un baiser de maman

Je la r’verrai tout à l’heure

 

Et puis pour mon dix-heures

Caché dans un mouchoir

J’ai une petit couque au beurre

Je t’en donnerai une part

 

Et la journée terminée

Papa viendra me chercher

Il me prendra par la main

J’lui offrirai mon dessin

Les papillons pondent des œufs

D’où sortent les chenilles

Les chenilles ont besoins d’eux

Pour éclore à la vie

 

Chenilles papillons

Papillons chenilles

Quand vient la saison

La nature les déguise

 

Petites larves voraces

Utiles quelquefois

Sur les mûriers se prélassent

Pour nous faire de la soie

 

Quand les chenilles sortiront

De leur chrysalide

Ce sera en papillons

Pour nous faire une surprise

Il revient à ma mémoire

Des souvenirs familiers

Je revois ma blouse noire

Lorsque j'étais écolier

Sur le chemin de l'école

Je chantais à pleine voix

Des romances sans paroles

Vieilles chansons d'autrefois

 

Douce France

Cher pays de mon enfance

Bercée de tendre insouciance

Je t'ai gardée dans mon coeur !

Mon village au clocher aux maisons sages

Où les enfants de mon âge

Ont partagé mon bonheur

Oui, je t'aime

Et je te donn' ce poème

Oui, je t'aime

Dans la joie ou la douleur.

Douce France

Cher pays de mon enfance

Bercée de tendre insouciance

Je t'ai gardée dans mon coeur.

 

J'ai connu des paysages

Et des soleils merveilleux

Au cours de lointains voyages

Tout là-bas sous d'autres cieux

Mais combien je leur préfère

Mon ciel bleu mon horizon

Ma grande route et ma rivière

Ma prairie et ma maison.

Ecureuils des bois

Protégez vos dents

En mangeant des noix

Tombées dans les champs (bis)

 

Lapins de garenne

Cachez vos derrières

Le roi et la reine

Sont dans la clairière (bis)

 

Hérissons piquants

Roulez-vous en boule

Prenez garde aux poules

Car elles sont devant (bis)

 

Moutons dans les prés

Prenez garde au loup

Car il est bien prêt

De sauter sur vous (bis)

 

Rossignols de nuit

Chantez vos couplets

Avant que la pluie

Rouille vos sifflets (bis)

E L M E R , je m’appelle Elmer

E L M E R , et puis j’en suis fier

 

De tout le troupeau

Je suis le plus beau

L’éléphant le plus élégant

Je suis bariolé de la tête aux pieds

Tout le monde me reconnaît

 

Être différent

C’est parfois pesant

Je voudrais comme mes amis

Être un éléphant qui de temps en temps

Deviendrait simplement tout gris

 

Chaque année pour fêter la fin de l’été

Tout le monde s’est déguisé

Bariolés, décorés furent mes amis

Et moi, je me suis peint en gris

Faire le tour du monde, en 80 jours

Poussé par le vent

Aller tout droit devant

Faire le tour du monde, en 80 jours

Du haut d'une nacelle

Rêver d'universel !

 

Voyager en montgolfière

Du Pôle Nord au Pôle Sud

Échapper à la colère

Du Triangle des Bermudes

Voir les chutes du Niagara

La grande muraille de Chine

Et les sables du Sahara

Quand la Lune illumine

Survoler l'Himalaya

Immense toit de la Terre

Les troublants temples Mayas

Entourés de mystères

Retrouver quelle merveille

Les ruines de l'Atlantide

Se coucher avec le Soleil

Au pied des Pyramides

 

Pleurer sur le Grand Canyon

Les indiens disparus

Regretter à Babylone

Les Jardins suspendus

Reconstruire la tour de Babel

Le phare d'Alexandrie

Et saluer la Tour Eiffel

En passant par Paris

Puis se poser quelque part

Trouver l'Eldorado

Îles Marquises ou Zanzibar

Paradis en cadeau

Et ces pays hébétés

Sous les cloches de Big Ben

En trouvant ouvert à côté

Un livre de Jules Vernes

 

Faire le tour du monde, en 80 jours

Poussé par le vent

Aller tout droit devant

Faire le tour du monde, en 80 jours

Du haut d'une nacelle

Rêver d'universel !

Faire le tour du monde

Faire le tour du monde

Faire le tour du monde

Faire le tour du monde

Faire le tour du monde

Faire le tour du monde

ABC

DEF

G

HIJ

KLMNOP

QRS

TUV

W

X

Y

Z

Maintenant je les connais

Toutes les lettres de l'alphabet

Ecoute bien la chanson du feu de bois

C’est la chanson de Natacha

Ecoute bien la chanson du feu de bois

Qu’elle chante quand il fait très froid

C’est la chanson de Natacha

 

Petit renard bleu

Ferme bien tes yeux

Petit loup d’argent

Cache bien tes dents

Et toi zibeline

Câline, câline

 

Boris reviendra

Et racontera

Le vent de l’hiver

Sur les sapins verts

Il réchauffera

Le bout de ses doigts

 

Quand tu chantonnais

Ta voix me berçait

La harpe jouait

Les flammes dansaient

Et moi je rêvais

Que je m’envolais

Bonjour les copains,

Je vous salue de loin

Bonjour les copains

D’un geste de la main.

 

Je ne vais pas m’approcher

Pour rester en bonne santé

Je ne vais pas t’approcher

Pour te protéger

 

A l’école le matin

Je me lave bien les mains

Au-dessus, au-dessous

Vraiment bien partout

 

Quand j’ai besoin de tousser

Je le fais dans mon coude

Je sens que j’ vais éternuer

Se s’ ra dans mon gilet

 

Et quand mon nez a coulé

Je vais bien vite jeter

Mon mouchoir tout mouillé

Sans traîner des pieds

 

Si on fait tous attention

Aux paroles de cette chanson

Aujourd’hui et demain

Tout l’ monde ira bien !

Un petit trou, deux petits trous et trois petits trous

Je suis la chenille qui mange, je m'en mets plein la panse

J'ai très bon appétit, je grossis, je grossis

Je fais des petits trous partout partout partout

 

Quatre petits trous, cinq petits trous et six petits trous

Je suis la chenille qui mange, je m'en mets plein la panse

J'ai très bon appétit, je grossis, je grossis

Je fais des petits trous partout partout partout

 

Sept petits trous, huit petits trous et neuf petits trous

Je suis la chenille qui mange, je m'en mets plein la panse

J'ai très bon appétit, je grossis, je grossis

Je fais des petits trous partout partout partout

 

Un petit trou, deux petits trous et trois petits trous

Je suis la chenille qui mange, je m'en mets plein la panse

J'ai très bon appétit, je grossis, je grossis

Je fais des petits trous partout partout partout

Brrr… Il fait froid, il fait froid !

J’ai froid jusqu’au bout des doigts.

Le seul moyen d’se réchauffer

C’est peut être de chanter !

 

Claque, claque tes mains

Elles ont chaud, elles sont bien

Frotte, frotte ton front

Il rougit comme un lampion.

 

Brrr… Il fait froid, il fait froid !

J’ai froid jusqu’au bout des doigts.

Le seul moyen d’se réchauffer

C’est peut être de chanter !

 

Tape, tape tes joues

Mais pas comme un petit fou

Dring, dring ton nez

C’est pour bien le réchauffer.

 

Brrr… Il fait froid, il fait froid !

J’ai froid jusqu’au bout des doigts.

Le seul moyen d’se réchauffer

C’est peut être de chanter !

 

Gratte, gratte ton menton

Barbichette, barbichon.

Secoue, secoue ton corps

C’est la danse du réconfort.

 

Brrr… Il fait froid, il fait froid !

J’ai froid jusqu’au bout des doigts.

Le seul moyen d’se réchauffer

C’est encore de rigoler !

La mer

Qu'on voit danser le long des golfes clairs

A des reflets d'argent, la mer

Des reflets changeants sous la pluie

 

La mer

Au ciel d'été confond ses blancs moutons

Avec les anges si purs, la mer

Bergère d'azur infinie

 

Voyez

Près des étangs ces grands roseaux mouillés

Voyez

Ces oiseaux blancs et ces maisons rouillées

 

La mer

Les a bercés, le long des golfes clairs

Et d'une chanson d'amour, la mer

A bercé mon cœur pour la vie

 

La mer

Qu'on voit danser le long des golfes clairs

A des reflets d'argent, la mer

Des reflets changeants sous la pluie

 

La mer

Au ciel d'été confond ses blancs moutons

Avec les anges si purs, la mer

Bergère d'azur infinie

 

Voyez (voyez)

Près des étangs (près des étangs) ces grands roseaux mouillés

Voyez (voyez)

Ces oiseaux blancs (ces oiseaux blancs) et ces maisons rouillées (la la la-la-la)

 

La mer

Les a bercés, le long des golfes clairs

Et d'une chanson d'amour, la mer

A bercé mon cœur pour la vie

La mer fait des vagues

A saute-mouton

La mer fait des blagues

Aux poissons

Quand elle se fracasse

Pour m’éclabousser

Moi je bois la tasse

Trop salée

 

La mer se fait douce

Quand elle veut jouer

Rien qu’un peu de mousse

A mes pieds

Elle est si gentille

Que je peux nager

Et ses gouttes brillent

Sur mon nez

 

Quand la mer se fâche

Et fait le gros dos

Il faut qu’on attache

Les bateaux

Quand le vent la creuse

Elle fait des bonds

Mais elle est heureuse

Pour de bon

 

La mer fait des vagues

A saute-mouton

La mer fait des blagues

Aux poissons

Et s’il faut attendre

Qu’elle soit calmée

C’est qu’il faut la prendre

Comme elle est

C’est qu’il faut comprendre

Qu’elle fait ce qui lui plaît

C’est la valse de l’automne,

Entre les arbres, le vent fredonne.

Tourbillonnent, tourbillonnent,

Mille et une feuilles !

 

C’est la valse de l’automne,

Allons cueillir des pommes.

Remplissons vite le panier,

La pluie me mouille le nez.

 

L’automne fait son retour,

Les jours deviennent plus courts.

Allumons des citrouilles,

Et partons en vadrouille.

 

C’est la valse de l’automne,

Il fait plus froid et je frissonne.

Couvrons-nous, couvrons-nous,

Boutonne-moi jusqu’au cou.

 

C’est la valse de l’automne,

Entre les arbres, le vent fredonne.

C’est l’automne, c’est l’automne,

Viens jouer dans les feuilles.

Dans les feuilles de l’automne !

C’est l’automne, l’automne !

À l'époque de nos arrière grands-parents

En noir et blanc, sur grand écran

Le cinéma muet, c'était marrant

Petits et grands aux premiers rangs

Pas d'micro pour la belle Greta Garbo

Sur le plateau, pas de robot

Et pour la musique y avait qu'un piano

Mais c'était quand même drôlement beau

 

Sous le feu des projecteurs

S'agitaient de grands acteurs

Harold Lloyd accroché à l'horloge

Le burlesque, la comédie

Avec Laurel et Hardy

Buster Keaton mérite nos éloges

 

À l'époque de nos arrière grands-parents

En noir et blanc, sur grand écran

Le cinéma muet, c'était marrant

Petits et grands aux premiers rangs

Pas d'micro pour la belle Greta Garbo

Sur le plateau, pas de robot

Et pour la musique y avait qu'un piano

Mais c'était quand même drôlement beau

 

Rigolo, tendre ou grotesque

Grandes épopées équestres

Autant de belles histoires en bobines

Merci aux Frères Lumière

À Méliès, à Max Linder

Charlie Chaplin et Jean Dujardin

 

À l'époque de nos arrière grands-parents

En noir et blanc, sur grand écran

Le cinéma muet, c'était marrant

Petits et grands aux premiers rangs

Pas d'micro pour la belle Greta Garbo

Sur le plateau, pas de robot

Et pour la musique y avait qu'un piano

Mais c'était quand même drôlement beau

Mais c'était quand même drôlement beau

Mais c'était quand même drôlement beau

Lundi  Mardi  Mercredi

Jeudi  Vendredi  Samedi  Dimanche

Lundi  Mardi  Mercredi

Jeudi  Vendredi  Samedi  Dimanche

 

Les jours de la semaine

Sont très disciplinés

Ils s’en vont en week-end

Mais sans se dépasser

 

Les jours de la semaine

Sont bien organisés

Chaque fois ils reviennent

Sans jamais se tromper

 

Les jours de la semaine

Ne peuvent plus s’arrêter

Ce sont toujours les mêmes

Et vous les connaissez...

Sboïng ! Sboïng ! Voilà les kangourous !

Qui sautent tout partout !

Sboïng ! Sboïng ! Voilà les kangourous !

Y sont fous, tout foufous !

 

Leurs pa-pattes de derrière, on dirait des ressorts

Et dans leur poche avant, y’a leur bébé qui dort

Dans toute l’Australie, ils vont en ribambelle

Poussant de petits cris, le museau vers le ciel

 

Ils bougent leurs oreilles en grignotant des fruits

Font la sieste au soleil ou dansent sous la pluie

Car ils aiment la vie, le vent, les grands espaces

Et puis la liberté, non, que rien ne remplace

Janvier, février,

Mars, avril,

Mai, juin,

Juillet, août,

Septembre, octobre

Novembre et décembre

 

Janvier, février

Mars, avril,

Mai, juin,

Juillet, août,

Septembre, octobre

Novembre et décembre

 

Douze mois dans l’année ce n’est vraiment pas assez

Pour pouvoir mieux s’amuser

Il faudrait en rajouter

 

Pour pouvoir mieux s’amuser

Il faudrait en rajouter

 

Janvier, février,

Mars, avril,

Mai, juin,

Juillet, août,

Septembre, octobre

Novembre et décembre

 

Janvier, février

Mars, avril,

Mai, juin,

Juillet, août,

Septembre, octobre,

Novembre et décembre

 

Et c’est terminé

On a fini cette année

Il faut tout recommencer

Pour une nouvelle année

 

Il faut tout recommencer

Pour une nouvelle année

Monsieur le Temps fait son marché

Avec son grand panier 

Il dit : « Bonjour, Madame l’Année, 

auriez-vous s’il vous plaît, 

Une douzaine de mois, 

c’est pour un calendrier » 

« Bien sûr, bien sûr, les voici !, 

Monsieur est servi ! »

 

JANVIER, FÉVRIER,

MARS, AVRIL,

MAI, JUIN,

JUILLET, AOÛT,

SEPTEMBRE,

OCTOBRE, NOVEMBRE ET DÉCEMBRE

 

Monsieur le Temps est très content 

Pour son calendrier 

Il peut repartir en chantant, 

avec son panier 

« Au revoir Madame l’Année, 

et pour le prochain marché, 

Vous me mettrez de côté, 

12 mois de l’année. »

 

JANVIER, FÉVRIER,

MARS, AVRIL,

MAI, JUIN,

JUILLET, AOÛT,

SEPTEMBRE,

OCTOBRE, NOVEMBRE ET DÉCEMBRE 

Patatrac, mon anorak. 

Roule, roule ma cagoule. 

Patatrac, mon anorak. 

Hé ! hé ! hé ! Mes gros souliers. 

 

On ne voit plus que mon nez, 

Et je vais me promener. 

On ne voit plus que mon nez, 

Et je vais me promener. 

Printemps est arrivé

Pour fleurir les cerisiers

Nature s'est réveillée

Pour appeler l'été 

Pour appeler l'été

 

Été est arrivé

Dans les champs et dans les prés

Tous les oiseaux chantonnent

Pour appeler l'automne

Pour appeler l'automne

 

Automne est arrivé

Pour colorer les forêts

Il ne tardera guère

Pour appeler l'hiver

Pour appeler l'hiver

 

Hiver est arrivé

Avec son nez tout gelé

Il a dit aux enfants

Bientôt c'est le printemps

Bientôt c'est le printemps

 

Printemps est arrivé

Pour fleurir les cerisiers

Nature s'est réveillée

Pour appeler l'été 

Pour appeler l'été

Qui était Boucle d'or 

Une gentille petite fille comme on en trouve encore

Une gentille petite fille 

 

Est-ce qu'elle était partie 

Un matin de bonne heure pour sa maman chérie cueillir des jolies fleurs 

Elle en avait trouvées sur le bord du chemin 

Puis elle était allée un petit peu trop loin

 

S'était aventurée dans la forêt touffue

Avait beaucoup pleuré parce qu'elle s'était perdue

Puis elle était tombée sur une drôle de maison

Elle y était entrée parce que ça sentait bon

 

Sur la table en sapin trois bols bien remplis

Elle n'avait pas très faim avait pris le petit

Elle était fatiguée alors elle a choisi

D'aller se reposer dans le tout petit lit

 

Trois ours étaient entrés petit moyen et gros

Qui revenaient du boulot à la fin d'la journée

Tous trois très en colère parce que quelqu'un avait

A l'heure du dîner touché à leurs affaires

 

Le moyen avait dit : mais qu'est-ce que tu fais là ?

Le gros lui avait dit : tu as qu'à rentrer chez toi

Le petit gentiment lui avait pris la main

Je t'emmène chez ta maman ça n'est pas très très loin

 

Mais où donc étais-tu ? la gronda sa maman

Tu es partie bien longtemps et j'te croyais perdue

Boucle d'or tenait dans sa main un bouquet

Et dans l'autre un mignon petit ourson

Si j'allais en Chine

Si j'allais en Chine

Si j'allais en Chine

Si j'allais en Chine

 

Si j'allais en Chine  

Avec mes copains, mes copines 

Tout l'monde en avion 

Le temps de la récréation 

Arrivée PéKin

Me voilà dans un palanquin 

Messieurs allons vite 

Pour Voir la Cité Interdite 

 

Si  j'allals en Chine 

Sur les collines de Guilin

Où l'on dit « je t'aime »

En se rélisant des poèmes

Direction Shanghaï

Et après la Grande Muraille

Soyons à midi

Au tombeau de Shin Chi Huandi

 

Si j'allais en Chine

Si j'allais en Chine

Si j'allais en Chine

Si j'allais en Chine

 

Si j'allais en Chine

Dire bonjour aux moines Shaolin

Maîtres du Kun-fu

A l'abri de nos vies de fous

Après la prière 

Prendre de l'eau dans les rizières

Marcher sans répit

Dans le grand désert de Gobi

 

Si j'allais en Chine

Et le temps d'une nuit câline

Sur l'Himalaya

Aller Caresser les pandas 

Passer au Tibet

Pour crier ton nom liberté 

Du haut de l'Everest

Embrasser le monde d'un geste

Red, orange, yellow, green, blue, purple, pink

Red, orange, yellow, green, blue, purple, pink

It's a rainbow

It's a rainbow

A beautiful rainbow in the sky

It's a rainbow

It's a rainbow

A beautiful rainbow in the sky

 

Red  Orange  Yellow  Green  Blue  Purple  Pink

 

Red, orange, yellow, green, blue, purple, pink

Red, orange, yellow, green, blue, purple, pink

It's a rainbow

It's a rainbow

A beautiful rainbow in the sky

It's a rainbow

It's a rainbow

A beautiful rainbow in the sky

 

A beautiful rainbow in the sky

A beautiful rainbow in the sky

Tour et Tour 

Et Tour Eiffel 

Pour monter, monter au ciel 

Qui se balance tout en haut 

Quand le vent souffle un peu trop

 

Tour et Tour 

Et Tour Eiffel 

Pour monter, monter au ciel 

Il nous faudrait un avion 

Ou des ailes de papillon 

 

Tour et Tour 

Et Tour Eiffel 

Pour monter, monter au ciel 

Si l'ascenseur est fermé 

Nous prendrons les escaliers

Tous les animaux du monde

Tous les animaux sont nos amis

Du lion à la colombe

Du renard au ouistiti

 

Le taureau n’est pas content

Sa femme est vache, c’est navrant

Le hibou chante à tue-tête

J’ suis heureux ma femme est chouette

  

Bien qu’il soit le plus musclé

L’éléphant se sent brimé

Parce qu’il a deux yeux tout noirs

Mais avec défense d’y voir

  

Moi j’ai un joyeux caniche

Qui aime qu’on lui fasse des niches

Et un poisson très revêche

Qui n’aime pas du tout la pêche

  

Quelle est la fête des chats

Moi je donne ma langue au chat

Vous ne trouvez pas du tout

Voyons c’est la mi-août

  

Essayez d’offrir un verre

Même au milieu du désert

A mon ami le zébu

Il vous dira moi j’ai bu

Dans sa maison un grand cerf

Regardait par la fenêtre

Un lapin venir à lui

Et frapper ainsi :

« Cerf, cerf ouvre moi !

Ou le chasseur me tuera !

- Lapin, lapin, entre et viens 

Me serrer la main. »

po é taï taï é

Epo é taï taï é

Epo é taï taï

Epo é touki touki

Epo é touki touki é

 

po : taper sur les cuisses avec les mains

é : taper avec les mains en croix sur le devant des épaules

taï : frapper dans les mains

touki : taper sur la tête avec le bout des doigts

Monsieur l’ours, réveille-toi,

Tu as bien trop dormi comme ça.

Au bout de trois, réveille-toi !

1, 2, 3 !

Monsieur l’ours, tu dors ou tu sors ?

(les enfants placent leurs mains près des oreilles pour écouter la réponse de l’ours)

Chuuttt, je dors !

 

Monsieur l’ours, réveille-toi,

Tu as bien trop dormi comme ça.

Au bout de trois, réveille-toi !

1, 2, 3 !

Monsieur l’ours, tu dors ou tu sors ?

(les enfants placent leurs mains près des oreilles pour écouter la réponse de l’ours)

Grrrrrr, je sors !

 

(l’ours se lève et choisit un camarade qui devient à son tour l’ours endormi)

Regardez là-haut

Ce qui monte au plafond

Cette grosse bête

Qui roule à bicyclette

C’est un éléphant 

Mais oui évidemment

Avec une queue derrière

Et une autre devant

Touche tes joues

Tic! Tic!

Attrape ton nez

Cric! Crac!

Ouvre grand tes yeux

Coucou!

Envoie des bisous

"Smack! Smack!"

 

Ouvre tes yeux

 

Attrape ton nez

Cric! Crac!

Ouvre grand tes yeux

Coucou!

Envoie des bisous, des bisous

"Smack! Smack! Smack! Smack!"

Un éléphant, ça trompe, ça trompe

Un éléphant, ça trompe énormément

 

La peinture à l’huile

C’est plus difficile

Mais c’est bien plus beau

Que la peinture à l’eau

 

Deux éléphants, ça trompe, ça trompe

Deux éléphants, ça trompe, énormément

 

Trois éléphants, ça trompe, ça trompe

Trois éléphants, ça trompe, énormément

 

Quatre éléphants, ça trompe, ça trompe

Quatre éléphants, ça trompe, énormément

 

Cinq éléphants, ça trompe, ça trompe

Cinq éléphants, ça trompe, énormément

 

Six éléphants, ça trompe, ça trompe

Six éléphants, ça trompe, énormément

 

Sept éléphants, ça trompe, ça trompe

Sept éléphants, ça trompe, énormément

Vole, vole, vole papillon

Au-dessus de mon école

Vole, vole, vole papillon

Au-dessus de ma maison

 

Tournez, tournez les jolis moulins

Frappez, frappez dans vos petites mains

Tournez, tournez les jolis moulins

Frappez, frappez dans vos petites mains

 

Ah ! Les jolies mains, Mesdames

Ah ! Les jolies mains, que j’ai

Ah ! Les jolies mains, Mesdames

Ah ! Les jolies mains, que j’ai

 

1, 2, 3, coucou !   

En ce printemps

Bonne fête, maman

Moi, ton enfant

Je t'aime tant

 

Quand je viens vers toi

Prends-moi dans tes bras

Je t'offre des fleurs

Pose-les sur ton cœur

 

Bonne fête, maman

Bonne fête !

 

En ce printemps

Bonne fête, maman

Moi, ton enfant

Je t'aime tant

 

Je dirai tout bas

Mon amour pour toi

Dans ce beau bouquet

Un baiser tout frais

 

"Bisous!"

 

Bonne fête, maman

Bonne fête !

Bonne fête, petit papa !

Prends-moi vite dans tes bras ;

Je te dirai tout bas :

Mon dessin est pour toi !

 

Bonne fête, petit papa !

Prends-moi vite dans tes bras ;

Je te dirai tout bas :

Mes bisous sont pour toi !

 

Bonne fête, petit papa !

Prends-moi vite dans tes bras ;

Je te dirai tout bas :

« Je t’aime mon papa ! »

 

"Bisous!"

 

Bonne fête, mon petit papa !

N N, Voici venir les rennes

O O, Nous aurons des cadeaux

E E, Les enfants sont joyeux

L L, C’est le soir de NOËL.

 

NOËL, NOËL, N,O,Ë,L

NOËL, NOËL, N,O,Ë,L

Le voilà qui sourit sur la place

Son chapeau, sa canne et son foulard

Il semble nous dire d’un ton bonasse

Ne voyez-vous donc pas qu’il est tard ?

 

Écoutez les clochettes

Du joyeux temps des fêtes

Annonçant la joie

De chaque cœur qui bat

Au royaume du bonhomme Hiver.

 

Sous la neige qui tombe

Le traîneau vagabonde

Semant tout autour

Une chanson d’amour

Au royaume du bonhomme Hiver.

  

Il dit vrai tout de même

Près du feu je t’emmène

Allons nous chauffer dans l’intimité 

Au royaume du bonhomme Hiver.

  

Écoutez les clochettes

Du joyeux temps des fêtes

Annonçant la joie 

De chaque cœur qui bat

Au royaume du bonhomme Hiver (bis)

Je suis un enfant de paix

Tends la main et prends la mienne

Et ensemble nous ferons

Un meilleur monde pour toi et moi

Je suis un enfant de paix

 

Je suis un enfant de paix

"Of peace shalom"

Tends la main et prends la mienne

"Ukuthula"

Et ensemble nous ferons

Un meilleur monde pour toi et moi

Je suis un enfant de paix

 

Cultivons la paix et la non-violence

Soyons des enfants de paix

Arrêtons la guerre et les injustices

Soyons des enfants de paix ... de paix

 

Je suis un enfant de paix

"Sula pace"

Tends la main et prends la mienne

"Keamanan"

Et ensemble nous ferons

Un meilleur monde pour toi et moi

Je suis un enfant de paix

 

Enfant de paix

Enfant de paix

À toute la famille

On dit joyeux Noël

Et nos vœux pour que brille

La nouvelle année

 

Je te dis joyeux Noël

Tu me dis joyeux Noël

On se dit joyeux Noël

Et aussi bonne année

 

J'apporte un petit gâteau

Tu apportes un petit gâteau

On apporte un petit gâteau

Petits gâteaux sucrés

 

Je donne un petit baiser

Tu donnes un petit baiser

On donne un petit baiser

Petit baiser mouillé

 

Et je ne partirai pas

Et tu ne partiras pas

Et on ne partira pas

Avant d'avoir chanté

Une fleur m’a dit, c’est Noël aujourd’hui

Ton sapin fleurit, c’est Noël

 

J’ai trouvé dans la nuit une fleur en papier

Sur la neige endormie et je l’ai réchauffée

  

Elle avait les yeux gris, les étoiles blessées

Le visage meurtri, les cheveux tout mouillés

  

Je l’ai mise à l’abri pour la faire sécher

Au milieu de la nuit, elle s’est mise à chanter

  

Je cherchais un ami et la fleur m’a donné

Ses pétales de pluie et son cœur en papier

Noël c'est comme un rythme de jazz,

Ça commence tout doucement 

On n'entend que la contrebasse 

Comme le cœur d'un petit enfant.

 

Et sur ce rythme là,

Noël.

 

Chantez tous avec moi, 

Noël.

 

Chantez, chantez tout bas, 

Noël !

Noël !

Noël !

10, 9, 8, 7, 6, 5, 4, 3, 2, 1 ...

Bonne année !! 

 

Bonne année, bonne santé, 

Puisqu’on est tous rassemblés, 

Nous on vient vous souhaiter, 

Du bonheur toute l’année,

Bonne année, bonne santé, 

Un nouveau calendrier,

Aux douze coups de minuit, 

On s’embrasse sous le gui.

 

Pour les enfants, bonne année ! 

Pour les parents, bonne année ! 

Pour les papis, bonne année ! 

Pour les mamies, bonne année ! 

Pour les cousins, bonne année ! 

Pour les copains, bonne année ! 

Pour les Terriens, pour les Martiens, pour tout le monde, 

Bonne année ! 

  

Pour les Indiens, bonne année ! 

Les Africains, bonne année ! 

Les Asiatiques, bonne année ! 

Et les moustiques, bonne année ! 

Pour les babouins, bonne année ! 

Pour les marsouins, bonne année ! 

Pour les Papous, pour les Zoulous, pour les toutous,

Les sapajous, les p’tits loulous, et les casse-cous,

Audrey Tautou et tout ce qui se finit en « ou »,

Bonne année, bonne santé !

A tous ceux qu’on aime bien,

Bonne année, bonne santé !

Et même à ceux qu’on aime moins,

Bonne année, bonne santé !

 

Bonne Année !

Il faut qu’on s’ bouge, il faut qu’on s’ bouge

Faut fair’ des efforts

Pour se sentir plus fort

Il faut qu’on s’ bouge, il faut qu’on s’ bouge

Toujours et encore

Pour l’esprit et le corps.

Il faut qu’on s’bouge, il faut qu’on s’bouge

Dedans comme dehors

C’est un conseil en or

Il faut qu’on s’ bouge, il faut qu’on s’ bouge

Les jeunes, les séniors 

Allons tous faire du sport

 

On est flémards et sédentaires

Les deux pieds scotchés sur la terre

Complèt’ment accros aux écrans

Sur l’ canapé en grignotant

Nous les « no life » et nous les « geeks »

Qui sommes devenus anémiques

Un peu de volonté

C’est bon pour la santé

il est temps d’ prendre l’air

Avant la crise de nerfs…

 

Un seul étage sans ascenseur

On est épuisé, en sueur

Et même pour aller à l’école

On n’ peut plus s’ passer d’ la bagnole

On finira tous « ramollos »

Comme un gros paquet d’ « chamallow »  

[Si’ on] veut avoir une chance

D’ pas casser la balance

Levons-nous de bon cœur

Et chantons tous en chœur !

Je fais du sport

Ça se voit j'ai la frite

Je fais du sport

Et c'est moi le plus fort

Ça se voit, ça se voit j'ai la frite

Et c'est moi, oui c'est moi le plus fort

Ça se voit, ça se voit j'ai la frite

Et c'est moi, oui c'est moi le plus fort

 

Je fais du sport

Maintenant je cours vite

Je fais du sport

Je bats tous les records

Maintenant, maintenant je cours vite

Je bats tous, je bats tous les records

Maintenant, maintenant je cours vite

Je bats tous, je bats tous les records

 

Je fais du sport

J'ai le coeur qui palpite

Je fais du sport

Ça me donne du ressort

J'ai le coeur, j'ai le coeur qui palpite

Ça me donne, ça me donne du ressort

J'ai le coeur, j'ai le coeur qui palpite

Ça me donne, ça me donne du ressort

 

Je fais du sport

Ça se voit, j'ai la frite

Je fais du sport

Maintenant je m'endors

La flamme Olympique, 

Est emblématique,

Elle annonce l’arrivée, 

Des fameux jeux d’été. 

La flamme Olympique, 

Est une symbolique,

Elle va encourager,

Nos athlètes préférés.

 

Elle va briller dans les cœurs, 

Apportant de la douceur,

Sa lumière va nous éclairer,

Nous la suivrons toute l’année. 

C’est un message de paix,

D’amour et d’amitié, 

D’Olympie elle va partir,

A Paris, elle va venir.  

 

Traversant nos belles régions, 

Nous chanterons à l’unisson, 

La France, aux yeux du monde 

Portera de belles ondes.

Les cinq anneaux sur le drapeau,

Flotteront très très haut.

Représentant les continents,

A l’Image du mouvement.

Portons la flamme

Toujours plus haut, haut, haut

Pas d'états d'âme

Pour nos JO

Colombes s'enflamment

Toujours plus haut, haut, haut

Pas d'états d'âme

Pour nos JO

 

Si parfois tu doutes de toi

Si parfois t'as plus envie

Tu pourras compter sur moi

Relever tes défis

Parce qu'ensemble on est plus fort

Parce qu'ensemble on relève tout

Parce que la magie du sport c'est ensemble

Et c'est tout

 

Si tu sens monter tes larmes

Si tu te crois à genoux

Cherche au fond de toi la flamme

La flamme qui brûle en nous

Parce qu'on veut d'un monde meilleur

Et parce qu'il ne tient qu'à nous

De brandir haut nos couleurs

Et de former un tout

 

Ensemble pour nos idéaux

Ensemble dans les vidéos

Rassemblés par millions

Le coeur fort comme des lions

Voyez comme on est liés

Voyer comme on peut briller

On se dépasse

Se surpasse

Et le terrain est enflammé

Les fans sur les gradins : Tout le monde debout

La flamme de nos destins : Dépend de nous

Aujourd'hui on vise loin : Un point c'est tout

On ira jusqu'au bout : Au bout du monde

 

Si tu crois baisser les bras

Si c'est pas du premier coup

Lève la tête 

Rappelle toi qu'ensemble on franchit tout

Peu importe si tu gagnes

Même si tu prends des coups

Toi, Moi forts comme les montagnes

Ensemble et puis c'est tout